Les analogues GLP-1, les nouveaux traitements de l’obésité
sans vous priver
faibles en calories
par une nutritionniste
L’obésité est une maladie qui touche de plus en plus de personnes en France comme dans le monde. Celle-ci peut s’expliquer par différents facteurs : alimentation non adaptée, manque d’activité physique ou, dans certains cas, par la présence de pathologie. Cependant, des solutions émergent dont les analogues du GLP-1. Abordons le sujet ensemble.
Qu’est-ce qui qualifie une situation d’obésité ?
Une situation d’obésité se définit par une masse corporelle supérieure à ce qu’elle devrait être. Le statut d’obésité est déterminé par un calcul tenant compte du poids et de la taille d’une personne. Le calcul pour déterminer son IMC est celui-ci : IMC = Poids / Taille x Taille.
Ce calcul va nous donner un résultat qui déterminera notre corpulence, allant de maigreur extrême à obésité morbide.
Nous sommes considérés comme en situation d’obésité à partir d’un IMC à 30.
Exemple : Vous pesez 80 kilos et mesurez 1m60. IMC = 80 / 1,6 x 1,6, soit un IMC à 31,2 indiquant une situation d’obésité.
Qu’est-ce que sont les analogues du GLP-1 ?
Le GLP1 (Glucagon Like Peptide 1) est une molécule présente dans l’intestin qui a pour objectif d’intervenir dans la régulation du glucose. Celle-ci peut avoir un rôle crucial dans la lutte contre l’obésité et le surpoids.
En effet, cette hormone va jouer un rôle dans la sécrétion d’insuline et donc de notre capacité à prendre ou à perdre du poids.
Les analogues du GLP-1, de part leur action sur la sécrétion d’insuline, peuvent permettre d’améliorer le contrôle de la glycémie en évitant de fortes fluctuations.
En tenant compte de ces facteurs, il serait donc possible de perdre du poids avec du GLP-1, cependant, les études scientifiques n’ont pas évalué l’ensemble des risques sur notre organisme.
Par exemple, il s’avère que l’utilisation de ce type de solution a souvent pour effet de causer des troubles gastriques en début de traitement. Pouvant amener des vomissements ou des diarrhées.
L’utilisation d’analogues GLP-1 correspond avant tout à l’utilisation d’un dispositif médical et cela doit être recommandée et encadrée par des médecins spécialisés.